Titre : | En séparant le sable et l'eau : la Création | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | André Manaranche (1927-....), Auteur | Editeur : | [Paris] : le Sarment-Fayard | Année de publication : | 1990 | Collection : | Collection Lumière vérité | Importance : | 298 p. | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-86679-047-9 | Prix : | 65 F | Langues : | Français | Catégories : | Création
| Note de contenu : | La Création a commencé, mais ce n'est pas le Big Bang: c'est la Tendresse de Dieu qui est la source de ma vie, car je suis autant créé qu'Adam et Eve. La foi ne fait pas d'archéologie : elle fournit la raison de vivre. Voilà une bonne Nouvelle, le tout premier Évangile. L'univers n'est pas incohérent. Il ne se réduit pas non plus à un ensemble de règles mathématiques. Il vient du Père et nous parle de lui. Ce n'est pas une chose neutre, un No God's land: en passant par les forêts, Dieu a laissé sa beauté. L'homme et la femme appartiennent à ce monde, ne serait-ce que par leur corps, mais ils en émergent parce qu'ils sont des êtres personnels, faits pour se donner librement. Difficile équilibre, car « qui veut faire l'ange fait la bête ». Et puis il y a les anges, ces grands caricaturés, ces grands oubliés. Pourtant, la Bible ne cesse de les montrer à l’œuvre. Quand on néglige cet univers invisible, les idées farfelues prennent la place. A la limite, Satan devient une divinité concurrente. Jésus-Christ n'est pas un tard-venu, un réparateur mis devant la casse accomplie : c'est ce Fils dont nous sommes l'image. Il faut lui redonner toute son ampleur.
André MANARANCHE |
En séparant le sable et l'eau : la Création [texte imprimé] / André Manaranche (1927-....), Auteur . - [Paris] ([Paris]) : le Sarment-Fayard, 1990 . - 298 p. ; 18 cm. - ( Collection Lumière vérité) . ISBN : 978-2-86679-047-9 : 65 F Langues : Français Catégories : | Création
| Note de contenu : | La Création a commencé, mais ce n'est pas le Big Bang: c'est la Tendresse de Dieu qui est la source de ma vie, car je suis autant créé qu'Adam et Eve. La foi ne fait pas d'archéologie : elle fournit la raison de vivre. Voilà une bonne Nouvelle, le tout premier Évangile. L'univers n'est pas incohérent. Il ne se réduit pas non plus à un ensemble de règles mathématiques. Il vient du Père et nous parle de lui. Ce n'est pas une chose neutre, un No God's land: en passant par les forêts, Dieu a laissé sa beauté. L'homme et la femme appartiennent à ce monde, ne serait-ce que par leur corps, mais ils en émergent parce qu'ils sont des êtres personnels, faits pour se donner librement. Difficile équilibre, car « qui veut faire l'ange fait la bête ». Et puis il y a les anges, ces grands caricaturés, ces grands oubliés. Pourtant, la Bible ne cesse de les montrer à l’œuvre. Quand on néglige cet univers invisible, les idées farfelues prennent la place. A la limite, Satan devient une divinité concurrente. Jésus-Christ n'est pas un tard-venu, un réparateur mis devant la casse accomplie : c'est ce Fils dont nous sommes l'image. Il faut lui redonner toute son ampleur.
André MANARANCHE |
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