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Les confessions / Augustin (DL 1964) / 978-2-08-070021-6
Titre : Les confessions Type de document : texte imprimé Auteurs : Augustin (0354-0430), Auteur ; Joseph Trabucco (18..-..), Traducteur ; Joseph Trabucco (18..-..), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Garnier-Flammarion Année de publication : DL 1964 Collection : G.F num. 21 Titres uniformes : Confessions : 1964; français Importance : 1 vol. (380 p.) Présentation : couv. ill. en coul Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-08-070021-6 Langues : Français Langues originales : Latin Catégories : Philosophie et religion Index. décimale : 920 Résumé : C'est à Augustin, plus qu'à aucun autre, qu'il fut donné de réaliser la synthèse de la pensée antique et de la pensée chrétienne, dont a vécu, de longs siècles, la civilisation occidentale. Par lui, la culture gréco-latine fait alliance avec la Bible, la sagesse platonicienne donne la main à la "folie de la Croix", une tradition nouvelle se crée, qui portera, nourrira, fera fructifier les plus beaux génies du genre humain. Récit d'une quête de Dieu, Les Confessions n'en est pas moins un livre très humain. Car avant d'être un saint, Augustin a été un homme comme nous, étranger à aucun sentiment de la terre. Voici ce qu'écrit Possidius, son biographe, qui a été son compagnon et disciple : "Je n'entreprendrai pas de rappeler ici tout ce que le bienheureux Augustin, dans ses Confessions, raconte de lui-même, ce qu'il avait été avant de recevoir la grâce et ce qu'il devint après l'avoir reçue. Il voulut rendre ce public témoignage, de peur que, selon l'expression de l'apôtre Paul, quelqu'un ne s'avisât de l'estimer au-dessus de ce qu'il se savait être, ou de ce que ses paroles faisaient connaître de lui..." Note de contenu : « Qu'êtes-vous donc, mon Dieu! Qu'êtes-vous, je le demande, sinon le Seigneur Dieu? " Qui est le Seigneur excepté le Seigneur ? Ou qui est Dieu, excepté notre Dieu? ". Très haut, très bon, très puissant, souverainement omnipotent, très miséricordieux et très juste, très caché et partout présent, très beau et très fort, stable et insaisissable, immuable et principe de tout changement, jamais nouveau, jamais ancien, renouvelant toutes choses, " acheminant, à leur insu, les superbes à la ruine "; toujours actif et toujours en repos; amassant alors que vous n'avez besoin de rien; soutenant, remplissant, protégeant, créant, nourrissant, perfectionnant, cherchant, quoique rien ne vous manque. Vous aimez, mais sans agitation; vous êtes jaloux, mais sans inquiétude; vous vous repentez, mais sans douleur, vous vous courroucez, mais calmement. Vous changez vos œuvres, mais sans changer vos desseins. Vous recouvrez ce que vous trouvez sans l'avoir jamais perdu. Vous n'êtes jamais pauvre, et vous aimez le gain, jamais avare, et vous exigez les intérêts. On vous donne plus que votre dû, pour que vous deveniez débiteur. Et cependant qui donc possède un bien qui ne vous appartienne? Vous payez des dettes, et vous ne devez rien à personne; vous les remettez, et vous ne perdez rien. Mais qu'ai-je dit, mon Dieu, ma vie, mes saintes délices? Que dire quand on parle de vous? Malheur cependant à ceux qui gardent sur vous le silence! Ils ont beau parler, ce sont _des muets. » Les confessions [texte imprimé] / Augustin (0354-0430), Auteur ; Joseph Trabucco (18..-..), Traducteur ; Joseph Trabucco (18..-..), Préfacier, etc. . - Paris : Garnier-Flammarion, DL 1964 . - 1 vol. (380 p.) : couv. ill. en coul ; 18 cm. - (G.F; 21) .
ISBN : 978-2-08-070021-6
Oeuvre : Confessions : 1964; français
Langues : Français Langues originales : Latin
Catégories : Philosophie et religion Index. décimale : 920 Résumé : C'est à Augustin, plus qu'à aucun autre, qu'il fut donné de réaliser la synthèse de la pensée antique et de la pensée chrétienne, dont a vécu, de longs siècles, la civilisation occidentale. Par lui, la culture gréco-latine fait alliance avec la Bible, la sagesse platonicienne donne la main à la "folie de la Croix", une tradition nouvelle se crée, qui portera, nourrira, fera fructifier les plus beaux génies du genre humain. Récit d'une quête de Dieu, Les Confessions n'en est pas moins un livre très humain. Car avant d'être un saint, Augustin a été un homme comme nous, étranger à aucun sentiment de la terre. Voici ce qu'écrit Possidius, son biographe, qui a été son compagnon et disciple : "Je n'entreprendrai pas de rappeler ici tout ce que le bienheureux Augustin, dans ses Confessions, raconte de lui-même, ce qu'il avait été avant de recevoir la grâce et ce qu'il devint après l'avoir reçue. Il voulut rendre ce public témoignage, de peur que, selon l'expression de l'apôtre Paul, quelqu'un ne s'avisât de l'estimer au-dessus de ce qu'il se savait être, ou de ce que ses paroles faisaient connaître de lui..." Note de contenu : « Qu'êtes-vous donc, mon Dieu! Qu'êtes-vous, je le demande, sinon le Seigneur Dieu? " Qui est le Seigneur excepté le Seigneur ? Ou qui est Dieu, excepté notre Dieu? ". Très haut, très bon, très puissant, souverainement omnipotent, très miséricordieux et très juste, très caché et partout présent, très beau et très fort, stable et insaisissable, immuable et principe de tout changement, jamais nouveau, jamais ancien, renouvelant toutes choses, " acheminant, à leur insu, les superbes à la ruine "; toujours actif et toujours en repos; amassant alors que vous n'avez besoin de rien; soutenant, remplissant, protégeant, créant, nourrissant, perfectionnant, cherchant, quoique rien ne vous manque. Vous aimez, mais sans agitation; vous êtes jaloux, mais sans inquiétude; vous vous repentez, mais sans douleur, vous vous courroucez, mais calmement. Vous changez vos œuvres, mais sans changer vos desseins. Vous recouvrez ce que vous trouvez sans l'avoir jamais perdu. Vous n'êtes jamais pauvre, et vous aimez le gain, jamais avare, et vous exigez les intérêts. On vous donne plus que votre dû, pour que vous deveniez débiteur. Et cependant qui donc possède un bien qui ne vous appartienne? Vous payez des dettes, et vous ne devez rien à personne; vous les remettez, et vous ne perdez rien. Mais qu'ai-je dit, mon Dieu, ma vie, mes saintes délices? Que dire quand on parle de vous? Malheur cependant à ceux qui gardent sur vous le silence! Ils ont beau parler, ce sont _des muets. » Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité E02173 R5-08E02173 Livre Bibliothèque paroissiale Livres religieux Exclu du prêt Ozanam / Madeleine Des Rivières (1997) / 978-2-89007-868-0
Titre : Ozanam : un savant chez les pauvres Type de document : texte imprimé Auteurs : Madeleine Des Rivières, Auteur Editeur : Montréal : Bellarmin Année de publication : 1997 Autre Editeur : Paris : éd. du Cerf Collection : Foi vivante Sous-collection : Témoins num. 391 Importance : 258 p Présentation : couv. ill Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-89007-868-0 Prix : 55 F Langues : Français Catégories : Catholicisme social Index. décimale : 920 Note de contenu : Qui est le bienheureux Frédéric Ozanam ? Un religieux, un laïc, un saint ?
Il naît à Milan en 1813, meurt à Marseille en 1853. Entre ces deux dates, s'écoule l'une des vies les plus fécondes qui aient marqué le catholicisme du XIXème siècle. Il est à peine âgé de vingt ans quand il fonde à Paris la société Saint-Vincent-de-Paul. En 1840, Ozanam devient, à vingt-sept ans, le plus jeune professeur de la prestigieuse Sorbonne. Dans une France troublée et anticléricale, il défend clairement et courageusement le catholicisme libéral. Républicain convaincu, il opte pour la démocratie chrétienne.
Qui est Frédéric Ozanam ? Un savant dont le charisme entraîne dans son sillage une grande partie de la jeunesse de son temps. Mais aussi un homme ordinaire, soucieux des autres. Un homme de contrastes, comme Dieu les aime.Ozanam : un savant chez les pauvres [texte imprimé] / Madeleine Des Rivières, Auteur . - Montréal (Montréal) : Bellarmin : Paris (Paris) : éd. du Cerf, 1997 . - 258 p : couv. ill ; 18 cm. - (Foi vivante. Témoins; 391) .
ISBN : 978-2-89007-868-0 : 55 F
Langues : Français
Catégories : Catholicisme social Index. décimale : 920 Note de contenu : Qui est le bienheureux Frédéric Ozanam ? Un religieux, un laïc, un saint ?
Il naît à Milan en 1813, meurt à Marseille en 1853. Entre ces deux dates, s'écoule l'une des vies les plus fécondes qui aient marqué le catholicisme du XIXème siècle. Il est à peine âgé de vingt ans quand il fonde à Paris la société Saint-Vincent-de-Paul. En 1840, Ozanam devient, à vingt-sept ans, le plus jeune professeur de la prestigieuse Sorbonne. Dans une France troublée et anticléricale, il défend clairement et courageusement le catholicisme libéral. Républicain convaincu, il opte pour la démocratie chrétienne.
Qui est Frédéric Ozanam ? Un savant dont le charisme entraîne dans son sillage une grande partie de la jeunesse de son temps. Mais aussi un homme ordinaire, soucieux des autres. Un homme de contrastes, comme Dieu les aime.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité E02192 T5-01E02192 Livre Bibliothèque paroissiale Livres religieux Exclu du prêt Un prêtre, Antoine Chevrier / Jean-François Six (1986) / 978-2-02-003104-2
Titre : Un prêtre, Antoine Chevrier : fondateur du Prado, 1826-1879 Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-François Six (1929-..), Auteur ; Alfred Ancel (1898-1984), Préfacier, etc. Editeur : Paris : éd. du Seuil Année de publication : 1986 Importance : X-532 p Présentation : couv. ill Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-003104-2 Prix : 99 F Note générale : Thèse soutenue sous le titre : "Un prêtre lyonnais, Antoine Chevrier Langues : Français Index. décimale : 920 Note de contenu : Antoine Chevrier est un inconnu. 11 a mene une vie simple et sans éclat au coeur d'une masse prolétarienne venue camper au xix° siècle aux portes de Lyon ; il a partagé la condition des pauvres et leur anonymat. Il a été ignoré par le clergé du diocèse de Lyon dont il ne suivait pas le style de vie. Son projet, un groupe de " prêtres pauvres pour les pauvres ", est passé, à son époque, quasiment inaperçu. Or ce prêtre proposait, voici un siècle, par ses écrits mais surtout par sa vie, un style nouveau d'existence sacerdotale, un style pour les temps modernes. Non plus le type de prêtre selon le curé d'Ars — alors que celui-ci l'avait lui-même conseillé et reconnu —; non plus d'abord le curé de campagne ; non plus une spiritualité de type monastique. Mais une tâche missionnaire. Au moment de Vatican I, Antoine Chevrier montrait un type de prêtre selon Vatican II, celui que Mgr Montini a exprimé, en août 1954, dans la préface de "Notre Sacerdoce" : "Il faut qu'il entende les sirènes qui viennent des usines...; c'est à lui de se refaire missionnaire. " Tout cela, Antoine Chevrier l'a proposé comme un humble, en termes simples et clairs et par des actes. Mais qu'on ne s'y trompe pas : c'est un François d'Assise pour le xxe siècle. Non plus un François d'Assise dans la splendeur du soleil et des champs d'Italie, mais un Poverello dans les brouillards du Rhône et les fumées d'usines. Non plus un religieux mendiant, mais un prêtre séculier. Pourtant un vrai François d'Assise. Pauvre comme lui. Et criant comme lui l'Évangile à tous les carrefours.
Un prêtre, Antoine Chevrier : fondateur du Prado, 1826-1879 [texte imprimé] / Jean-François Six (1929-..), Auteur ; Alfred Ancel (1898-1984), Préfacier, etc. . - Paris (Paris) : éd. du Seuil, 1986 . - X-532 p : couv. ill ; 21 cm.
ISBN : 978-2-02-003104-2 : 99 F
Thèse soutenue sous le titre : "Un prêtre lyonnais, Antoine Chevrier
Langues : Français
Index. décimale : 920 Note de contenu : Antoine Chevrier est un inconnu. 11 a mene une vie simple et sans éclat au coeur d'une masse prolétarienne venue camper au xix° siècle aux portes de Lyon ; il a partagé la condition des pauvres et leur anonymat. Il a été ignoré par le clergé du diocèse de Lyon dont il ne suivait pas le style de vie. Son projet, un groupe de " prêtres pauvres pour les pauvres ", est passé, à son époque, quasiment inaperçu. Or ce prêtre proposait, voici un siècle, par ses écrits mais surtout par sa vie, un style nouveau d'existence sacerdotale, un style pour les temps modernes. Non plus le type de prêtre selon le curé d'Ars — alors que celui-ci l'avait lui-même conseillé et reconnu —; non plus d'abord le curé de campagne ; non plus une spiritualité de type monastique. Mais une tâche missionnaire. Au moment de Vatican I, Antoine Chevrier montrait un type de prêtre selon Vatican II, celui que Mgr Montini a exprimé, en août 1954, dans la préface de "Notre Sacerdoce" : "Il faut qu'il entende les sirènes qui viennent des usines...; c'est à lui de se refaire missionnaire. " Tout cela, Antoine Chevrier l'a proposé comme un humble, en termes simples et clairs et par des actes. Mais qu'on ne s'y trompe pas : c'est un François d'Assise pour le xxe siècle. Non plus un François d'Assise dans la splendeur du soleil et des champs d'Italie, mais un Poverello dans les brouillards du Rhône et les fumées d'usines. Non plus un religieux mendiant, mais un prêtre séculier. Pourtant un vrai François d'Assise. Pauvre comme lui. Et criant comme lui l'Évangile à tous les carrefours.
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité E02206 T5-10E02206 Livre Bibliothèque paroissiale Livres religieux Exclu du prêt